Un mois à peine s’est écoulé depuis que la Bolivie a choisi Evo Morales afin de la diriger une troisième fois. Souvenir d’un épisode où le peuple souhaitait le faire plier, d’un nouveau blocage après plusieurs nuits passées dans un bus, aux portes de l’Amazonie. Lire la suite
Auteur : stephetlilian
Pérou : Machu Picchu, entre clichés et réalités
Le Machu Picchu au Pérou. Légendaire cité perdue devenue l’un des sites les plus touristiques du globe et, pour certains, l’une des sept merveilles du monde. La renommée de l’œuvre construite sous le règne de Pachacùtec a bel et bien dépassé les frontières du pays. Résidence impériale, sanctuaire religieux… Les hypothèses demeurent sur cette « ville » bâtie à 2.438 mètres, entre les Andes centrales et forêt amazonienne. Une certitude, elle symbolise l’empire Inca et parfois jusqu’au Pérou. Ce qui en agace profondément… Lire la suite
Pèlerinage chez les enfants du soleil
Parcourir la « route sacrée de l’éternité du soleil ». Quel honneur quand on y pense. Celui d’une balade privilégiée en pleine mythologie inca, là, sur l’Isla del sol (Bolivie), la plus grande île du lac Titicaca. Lire la suite
Le jour où j’ai perdu contre le Cotopaxi
Je me voyais déjà sur la cime du Cotopaxi, en Equateur. Ben non, en fait c’était la Bérézina. Je vous raconte tout.
Chez le nazi de la forêt
Ce n’est plus un mystère depuis les années 1990. Après-guerre, l’Argentine a accueilli des dizaines, voire des milliers, de nationaux socialistes fuyant la défaite du IIIe Reich. Eichmann à Buenos Aires. Priebke à Bariloche. Hitler lui-même à Villa-La Angostura selon l’écrivain argentin Abel Basti. Mais qu’en est-il de l’homme qui aurait vécu près de San Ignacio, de celui que l’on appelait « l’Allemand » ? Véritable nazi vivant caché au fond des bois ?
Faire ses courses à la bolivienne
Les supermarchés n’ont pas vraiment la cote en Bolivie. Et on presque envie de dire tant mieux. Pour faire ses courses, rien de mieux que de se balader au hasard des méandres des « mercados » jusqu’à s’y perdre. Détours par le dédale d’étals de Sucre et La Paz, en passant par Tarabuco et Cochabamba. En prime, quelques arrêts sur les « stands » colombiens, équatoriens et péruviens.
Cachi charms heart and soul
15-18/02/2014
The road serpentines outstretched into the mountains, higher by every turn we take and more abrupt and deep are the ravines just next the by now becoming straitened dust path. The 160km ride from Salta is an adventure on itself and rewards with a sunset at the 65 620 hectares ‘Cardones National Park’ which is driven through. The cactus as old as 300 years are standing tall and proud in an arid silence desert-like scene. It’s a region where flora and fauna show as singular characteristics as the arid décor they are standing in and delight the eye seems their only purpose.
We arrive long after the sun finished nightfall, when only a few orange streetlights enlighten what is left of a joyful day in a rural town. Heavy loaded with our backpacks we stumble from street to street looking for a place to sleep. Amongst the…
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Rando à trois temps dans le Huascaràn
Trois jours à écouter son cœur qui s’emballe dans les montées, à calmer ses poumons en manque d’oxygène et à encourager ses jambes fatiguées. Trois jours à marcher dans les cordillères noire et blanche d’Ancash, au Pérou, près de Huaraz… Morceaux choisis de ces 72 heures pendant lesquelles la « machine » a été mise à l’épreuve mais s’est finalement bien adaptée. Entre 3.000 et 5.000 mètres, tout est plus dur et plus beau.
Sur les rives du Beni, contre vents et marées
Un toit en feuilles de palmier brunies par le soleil. Pour ossature, de fins troncs taillés dans des arbres de la forêt amazonienne. Le tout un peu bancale. C’est ce qu’il reste de la maison de Nasierra, indigène tacana d’une soixantaine d’années, native de la communauté de San Miguel del Bala installée sur les berges du Beni, à l’uuest de la Bolivie.
Trésor et dinosaures
Torotoro, en Bolivie. Segundino, jeune guide de tout juste 20 ans, retrouve sa troupe de touristes pour une nouvelle expédition, au milieu de paysages dignes de l’Île au trésor sur fond de Monde perdu.
Jusqu’au Machu Picchu tu marcheras
Quand le porte-monnaie est maigre, le mochilero se doit d’observer un commandement s’il veut lui aussi visiter les sites touristiques en sauvant quelques billets : ne pas suivre les flots d’autres touristes. Alors pour s’offrir le Machu Picchu péruvien, adieu les tours, le train et le Chemin de l’Inca. A pied, le long de la voie de chemin de fer il marchera.
La Vallée sacrée, en formes et en couleurs
Classe ! Les vestiges incas au nord de Cusco, l’ancienne capitale impériale, ne sont pas réservés qu’aux historiens, archéologues et autres rats de bibliothèques. Pìsac, Ollantaytambo, Chinchero, Moray-Maras… Au diable les bouquins ! Ces quelques dizaines de kilomètres le long des Andes péruviennes parleront aussi bien aux esthètes qu’aux simples amoureux de couleurs inattendues et de formes insolites.
Inti Raymi, façon Cusco
La Paz en Bolivie. Cusco au Pérou. Presque à égale distance des berges de l’immense Titicaca – trois heures environ – mais chacune de son côté du rivage. En plus de se partager cette mer intérieure, les deux pays préparent chaque année juin avec le plus grand soin, le mois de fête par excellence. Au cœur des Andes, pas question de plaisanter avec la célébration du solstice d’hiver. Au pays d’Evo Morales, l’événement majeur dédié à l’astre solaire se déroule à Tiwanacu, à une centaine de kilomètres de La Paz. Mais pas de commune mesure avec le côté péruvien. Dans l’ancienne capitale de l’empire inca, l’« Inti Raymi » est prétexte pour les Cusqueños à une fiesta de plusieurs semaines.
La Isla del sol, d’un bout à l’autre
Au milieu des eaux du Titicaca, tout près de Copacabana en Bolivie, la Isla del sol lance un défi aux voyageurs amoureux des grands espaces. Des paysages d’une rare beauté en territoire inca et la promesse d’une balade à couper souffle.
Torotoro, terrain de jeux des frères casse-cous
Torotoro, en Bolivie ? Traces de dinosaures, évidemment ! Mais pas seulement. Ce petit village, à 138 kilomètres au sud-est de Cochabamba, la deuxième ville du pays, est une promesse d’aventures et de paysages grandioses. Segundino et son petit frère Alvino, deux enfants du pays, guident les touristes sur leur terrain de jeu.
Sans imagination, Tiwanaku n’est rien
La Porte du soleil. Benett, Ponce ou Fraile les colosses de pierre. Les pyramides à étages… Quelques incontournables du site archéologique de Tiwanaku, à moins de deux heures de La Paz, témoin du prestige de la civilisation pré-inca éponyme. Passée maître dans la réalisation d’ouvrages architecturaux monumentaux, célèbre pour ses connaissances en matière d’art, d’astronomie, d’organisation de la société, elle continue d’interroger – comme les conditions de son déclin. Lire la suite
Christ champion du monde à Cochabamba
Dans les églises, les gares, les foyers, pendues aux rétroviseur des taxis et des bus, au coin des rues… Des millions de vierges protègent les Boliviens. Pour les épauler dans cette tâche, un Christ géant et immaculé. Le célèbre Cristo de la Concordia de Cochabamba. Juché depuis vingt ans sur le cerro San-Pedro, fidèles et curieux lui rendent visite à pied, en bus, taxis et téléphérique.
En l’honneur de Jesus del Gran Poder
La Bolivie. Pas un jour sans fête, pétard ni fanfare. Avec une petite quarantaine de dates fériées chaque année, la caricature n’est pas si éloignée de la vérité. Sans compter les célébrations de quartiers, de villages ou de coorporations dans la centaine de provinces ou les neuf départements du pays. Dans ce calendrier d’allégresse, quelques rendez-vous marqués d’une croix rouge, absolument incontournables et préparés d’une année à l’autre. Deux exemples. Le carnaval d’Oruro et la Fiesta del Gran Poder de La Paz, qui passe pour l’un des plus grands rassemblements. Une édition « réussie » titrait avec sobriété certains titres, au lendemain de l’événement 2014. Quelle retenue…
Maragua au bout du chemin de l’Inca
A moins de 50 kilomètres de Sucre, la capitale constitutionnelle bolivienne, et pourtant coupés du monde, « los pueblos jalq’a ». Méfiance. A n’importe quelle agence de tourisme ou guide qui évoquera la topographie cette région comme le résultat de la chute d’une météorite ou étant l’endroit rêvé pour admirer d’ancestrales techniques de tissage, leur faire comprendre que tous les visiteurs ne sont pas de stupides gringos. Après la stupeur suscitée par une telle réponse, reprendre la conversation sur de bonnes bases. Plus honnêtes.
Welcome to quebrada
« Salta la linda. Tan linda que enamora. »« Salta la belle. Si belle que tu en tombes amoureux. » Promesse d’Argentins qu’il faut croire sur parole. Tout de même un coup d’œil sur une carte pour se faire une idée. « Vale. »